Rêverie Folle [Libre]

Klyde entra dans la pièce sombre, il était fatigué, lessivé, il avait subit trop de pression en une courte journée.

Il avança traînant ses pieds sur le sol puis sur le tapis, il s'effondra sur le sofa rouge aux coutures noires, avachit, la tête posé sur la main fermée en poing. L'autre, recourbé le long de son corps étendu, ses jambes dépassaient le campé, pendant dans le vide et il se laissa allé dans ses rêveries.

Envoyé ici, que c'était injuste, ce qui voulait juste c'était de faire des nouvelles victimes prit au hasard et non pas des corps morts, ceux qui appartenaient au part avant à des proches ou même à des personnes lui étant connu ou déjà vu. Non - lui il désirait des inconnus, des visages jamais vus, cela l'amusait d'avantage, il imaginait leur ancienne vie, ou ils habitaient, comment était leur vie sociale, avaient-ils de la famille ou non, orphelin ou enfant gâté. Plus d'intérêt à assassiné des inconnus !

Ou ferait-il comme ce livre Le Cueilleur de Fraise ? Kylde draguerait ses belles femmes, séduisantes, ravissantes et cultivée, au corps fort attirant. Il les rendrait à son tour folle de lui au point de ne pensée qu'à Klyde jours et nuit, de rêver de lui, de son corps, il frémit à cette idée enjouie. Mais il leur interdirait de parler de lui à quiconque ! Il ne leur racontera peu sur lui et ne leur dirait pas son véritable prénom, ni nom, inventant un nouveau chaque jour, au fur et à mesure de son humeur.

Puis quand elles seront à bout et voudront son corps au point de tuer tout ceux leur interdiraient - Klyde se ferait d'abord plaisir en jouant avec elle, puis les tuerait et laissera son symbole, sa marque.

Le jeune homme sourit à cette folle rêverie, cela serait plus que aimant, mais dans ce cas présent il ne pouvait bouger, ni même sortir de cette enfer, de cette prison. Il ne pouvait abasourdir ses désirs sauvages, mais il n'était pas seul ici, et on ne lui avait pas interdit de faire des rencontres, de se créer des liens, ni même de tuer ou de se battre.

*la prochaine personne qui franchit la porte je le tue, ou nan : Si c'est une fille je joue au "cueilleur de fraise" - Si c'est un mec je le torture puis lui trancherai la tête !*

Klyde soupira puis s'étira, ramenant ses bras derrière sa tête, joignant ses mains puis tendit ses muscles. Le jeune homme les ramana derrière sa tête et s'en servit comme oreillé.